au jour le jour...  
   
 

MERCREDI

14 Décembre 2005

Après un petit footing

qui m'amène jusqu'à la l'extrème sud de Bilbao, je prends une douche, un petit dej' et je retourne à l'université pour lire mes mails avant le cours de 10 heures. Je ne peux m'empécher de prendre une photo du Musée une nouvelle fois.

Bégonya m'a dit que c'était remarquable à l'intérieur aussi au moins au niveau architecture, même si les expositions étaient souvent difficiles à aprécier. La prochaine fois, j'irai promis.

Je débute mon cours seul car Bégonya n'est pas là, Javier m'accompagne gentiment jusqu'à la salle que je n'aurais pas su trouver tout seul. Bégonya errive quelques minutes plus tard et s'assied.

Après avoir présenté l'ICAM et les départements je parle aujourd'hui des contrats, je n'ai le temps que de parler de la machine de PyVision, il me reste pour demain le gilet de pompier pour Boyé et le module qualité de Météo-France. A force d'avoir peur de manquer de slides, je vais finir par ne pas arriver à tout passer !

A 11h00 je passe voir Evaristo qui a l'air très aigri par le nouveau remaniement. Si j'ai bien compris, il n'est plus responsable du département d'automatique et pour les relations industrielles il ne sait pas. Qui a dit qu'à l'ICAM on communiquait mal ? De toutes façons, je dois le revoir demain.

Je passe ensuite dans le bureau de Begonya Rey, responsable de l'enseignement de l'intelligence artificielle. Elle m'accueille de façon très sympatique. Ici on dirait que tout le monde est sympa et étonné que tu veuilles parler, que tu trouves Deusto si bien... Parfois tu as l'impression d'être le 'moteur'. Elle m'invite à prendre un café, et en fait on va squatter un petit salon (pas mal... mais j'avais pas mon appareil) qui vient d'être libéré après une réception officielle. On trouve deux tasses propres et on discute. Elle parle parfaitement anglais, en fait elle a fait ses études en Suisse puis après un passage à Deusto a poursuivi par un MBA aux States. Elle parle aussi en anglais à ses quatre enfants... bon enfin on parle de plein de trucs avant de... ne pas en venir aux cours d'intelligence artificielle. On évoque un quelques points mais le débat s'oriente plutôit sur la motivation des élèves, le respect des programmes. En partant elle me dit que j'ai été comme un peu de fresh water. Je la trouve très posée, et avec beaucoup de projets. Il faut que nous enclenchions des trucs rapidement. Je lui propose de venir sur Toulouse au semestre prochain, elle pense que ça risque d'être difficile. On se met d'accord pour l'an prochain. En chemin, on croise Roberto qui travaille avec elle en IA.

Le cours de 13h00 d'Amaïa que de vais suivre est reporté pour cause de Eucaristia (messe). Nous allons du coup manger un peu plus tôt puisqu'Anselmo est disponible. Pendant le repas Begonya m'apprend qu'elle a parlé à Bégonya (l'autre, la prof d'IA) et qu'elle veut que je revienne au semestre prochain pour l'IA. Décidément, c'est à Bégonya d'être responsable des relations internationales de Deusto. Je vais recevoir un mail me précisant sur quel domaine je dois intervenir. Avec Anselmo nous évoquons le problème d'Antoine, notre étudiant lillois qui est là de puis septembre et qui n'a toujours pas de stage. Le repas se déroule dans la 'cantine' habituelle, à savoir le super resto intérieur tout en bois sur l'avenue à droite de l'Université.

Oscar m'aide à trouver un autre moyen de transport pour rentrer sur Toulouse, il me semble que la meilleure solution serait : le bus jusqu'à Hendaye, puis le train jusqu'à Toulouse. Ca me fait gagner 7 heures. Pas mal !

A 17h00 je vais enfin assiter à un cours d'Amïa. J'en tire quelques remarques, dont au moins celle ci : En deux jours, c'est la première fois qu'un autre prof assiste à un de mes cours, et c'est la première fois que j'asiste à un cours d'un autre prof. Cela en anglais et espagnol. Pas mal ! Je ne sais pas pourquoi en france on est si secrets avec nos cours, mais c'est vrai que l'on assiste pas trop aux cours des autres.

A 18h00 Antoine passe me voir, je crois qu'il m'aime un peu moins que Mathieu. Je lui dit qu'attendre pendant un mois et demi qu'un stage te tombe tout cuit n'est pas une preuve réelle de pugnacité.

Bon, Deusto va fermer, je ne vais pas attendre le haut-parleur comme hier, je vais mettre tout ça en ligne avant de quitter ce magnifique bureau 219 que Carolina et Oscar (étudiants de cinquième année) ont la gentillesse de partager avec moi !

De retour à l'hôtel, je descends manger des pincho à 21h54, pour une fermeture du bar à 22h00. Je bois une bière et mange un pincho et lorsque je demande à la jeune femme qui sert si je peux partir avec un pincho ¿ Es possible llegar con uno de eso ?, elle me rit beaucoup et me dit que llebar et llegar ne signifient pas la même chose, puisque l'un signifie quando un hombre quere una mujer... XXX vérifier lequel j'ai dit car du coup maintenant, je ne sais plus !

 

Test d'évaluation numéro 2 pour Louis et Matthieu

Question 4 : Sachant que sur le plan suivant mon hôtel en 17 et mon Ecole en 41, puis-je voir tout le long du trajet le musée Guggenheim situé en 44 ?


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Question 5 : En regardant les billets de train pouvez-vous dire lequel des trajets était le plus cher, l'aller ou le retour ?

Je n'ai pas reçu vos réponses aux trois premières questions, faites attention, la date limite pour rendre les copies est fixée au 16 décembre 2005.